Bonjour !
Enfin, je poste une critique sur cet anime, que j'ai abandonné pourtant au 26ème épisode il y a un an, davantage parce que le rythme (!) de sortie des épisode était tellement lent que je ne voyais plus rien venir - NON Mangakam, ceci n'est pas une critique de ton travail, ni de celui de la team, vous êtes tous déjà bien sympa de faire le travail que vous faites, alors je ne vais pas, moi qui jusqu'ici ,n'ai pas fait grand-chose, me permettre de vous juger. Au contraire, votre travail à tous est remarquable et Anime Ultime est LE site que je cherchais pour trouver des anime aussi bien récents qu'anciens, et surtout pour découvrir des perles que les importateurs ne jugent pas assez "potentiellement rentables" pour les sortir en France.
Bon, cet anime... qu'en dire ?
Je l'ai découvert par hasard sur YouTube ou DailyMotion ou un autre, je ne m'en souviens plus du tout. Et il m'a tout de suite accroché par son aspect kawaii mais pas pervers, juste mignon et plein d'énergie positive. C'est un anime rafraichissant, à une époque où être positif et optimiste c'est passer pour un naïf ou un crétin. Moi ça me plait pour ça, cet optimisme à tout crin, un peu bébête mais tellement communicatif.
Et puis autre point positif, mais il m'est personnel : c'est en cherchant la suite de cet anime que je suis tombé sur Anime Ultime, début janvier 2012.
Et que du coup j'ai pu découvrir des animes aussi extraordinaires que Chihayafuru, Clannad, Kanon, Allison to Lilia (méconnu, à mon avis), Nodame Cantabile, Freezing, Kimi ni Todoke, et j'en passe tellement !
Alors, OUI, Pretty Rhythm - Aurora Dream est un anime qui a plein de défauts :
- d'abord c'est un anime conçu comme une publicité géante pour les produits (vêtements, parfums, produits de beauté) TAKARA TOMY
- ensuite tous les "figurants" (persos sans importance, foules, etc) sont représentés par des silhouettes
- il y a également les séquences de patinage, dont il est visible qu'elles sont faites avec une 3D datée - j'ai vu une critique comparant cela à du graphisme sur PS2, non sans raison à mon avis...
- et de plus ces séquences ont tendance à se répéter, la réutilisation de scènes est d'ailleurs présente aussi dans la partie animée classique.
- l'intrigue générale traine un peu en longueur, et on se demande si une série de 24-26 épisodes n'aurait pas suffi pour tout boucler...
- le sport-spectacle ici décrit est certes intéressant : patinage sur glace, danse et chant pourquoi pas, mais qu'est ce que c'est y donc qu'ils nous ont inventé là avec des sauts bizarres où toutes sortes de choses magiques se produisent parce que les filles ont des bons sentiments plein le coeur et les partagent comme ça avec le public ? WTF, non ? Bien, bien, ça frôle l'asile de fous, tout ça, non ?
Mais elle a aussi des qualités intrinsèques
- Le WTF magique décrit plus haut - les sauts avec production de fruits, de pluies d'étoiles filantes, etc - est justement une magie positive qui apporte de la joie aux spectateurs - et les incite à acheter les produits, sans aucune gêne occasionnée par une morale judéo-chrétienne, et ça c'est bien frais, je trouve.
Complètement décomplexés par la certitude que leurs produits (et bien entendu les spectacles) vont faire du bien au public !
Quant aux filles - très jeunes, avec un effet loli qui m'a un peu gêné au début - elles y vont de bon coeur, parce que leur "combat", leur "passion" leur semble juste... et pour peu qu'on se laisse un peu aller à oublier un peu qu'on est des râleurs de français et des moralisateurs à la noix (hou c'est pas bien d'employer des jeunes filles de 13-14 ans et les faire trimer comme des dingues pour faire des spectacles pour vendre des fringues...) si on s'oublie un peu, disais-je, on peut commencer à apprécier... Redevenons un peu naïfs, que diable.
- Le fil rouge de chaque personnage principal est lui aussi intéressant à suivre :
Aira l'empotée qui apprend peu à peu à devenir plus gracieuse et en apprend davantage sur elle-même, la féminité, les garçons (si, si !), l'amitié, etc... Sa collègue qui cherche à toute force à refaire le parcours de sa mère disparue pour l'impressionner et tenter de la faire réapparaître, Mion qui ne fait confiance à personne, même pas à elle-même, tellement elle a été isolée par son statut de star de la mode...
- De l'humour, encore de l'humour, toujours de l'humour :
un peu lassant lorsqu'il s'agit des pitreries des peluches vivantes des trois filles, mais vachement bien amené lorsqu'il s'agit de l'épisode où elles vont faire un entrainement qui parait n'avoir aucun rapport avec le Prism Show - ça rappelle bien sûr Karate Kid (le premier film) et certains anime de sport ou de combat.
- Le père d'Aira me fait exploser de rire tellement il cherche à protéger sa fille...
Je rapprocherais volontiers cet anime de AKB0048 (mais ce dernier est tout de même bien meilleur) : des très jeunes filles qui font de leur mieux pour égayer leur vie et celle de leurs spectateurs.
Allez je m'arrête là et je vous laisse apprécier cet animé haut en couleurs et original qui apporte de la joie de vivre et de la fraicheur dans un monde de brutes.
je me demander si la suite de la serie sera faite sur le site le titre c pretty rhytm dear my futur, ou sinon vous savez ou ont peu la voir svp
Quand on consulte les fiches de "Pretty Rhythm" sur Myanimelist, on voit que la recommandation première du site pour ceux cherchant un anime similaire est... "Aikatsu!". Ca tombe bien, j'ai suivi les 90 épisodes sortis de la série juste avant. Et du coup, je me rends compte à quel point la comparaison entre les deux est pertinente. Malgré tout, j'ai largement préféré "Aikatsu!", bien qu'il ne soit pas dénué de défauts. Les premiers épisodes de "Pretty Rhythm: Aurora Dream" m'ont fait craindre le pire. Et ma foi... Ben sur cet aspect là, j'ai pas été déçu. Il a en effet fallu attendre l'épisode 40 pour que la série commence à montrer quelque chose de sympa.
"Pretty Rhythm" a à mon avis tant de défauts qu'en tenir une liste à jour relève du travail de fourmi. Ce n'est pas pour rien que la note mise à cette série a varié entre 2 et 4 pendant 39 épisodes, avant de décoller un peu plus. Je vais essayer d'en dresser un bilan. Mais je tiens tout d'abord à signaler que j'ai vu la quasi intégralité de la série en vosta. La vostfr présente ici s'avère réussie à 90%, mais il reste 10% des lignes qui révèlent parfois des contre sens dans la traduction depuis la vosta pouvant gêner la compréhension. Malgré tout, suivre la série en vostfr sur AU reste possible, si on accepte cette marge d'erreur légitime.
Alors que je reprends quelques notes que j'ai laissées sur notepad, je me demande bien comment faire la synthèse des trucs foireux de cette série... On va commencer par les problèmes de crédibilité. Et y en a une chié. Le premier truc qui choque peut être remarqué dès l'épisode 1. On a ici des gamines qui semblent atteindre un niveau olympique en patinage artistique et danse sur glace sans jamais avoir pris de cours. On aurait pu excuser ça si encore on avait eu le sentiment qu'un minimum d'efforts avaient été consentis au préalable pour apprendre les bases. Mais le vrai problème là-dedans, c'est qu'on a le sentiment que du coup, n'importe quel unijambiste peut faire des Prism Shows, et que nos héroines n'ont donc absolument rien de spécial. D'ailleurs, le fait que des filles qui ne savent même pas ce qu'est un Prism Show soient balancées sur la glace en direct à la télé nationale est un autre non sens... On nous la joue conte de fées, mais à ce stade là, ca fait juste PLOUF! On a ces 2 gamines au début, les 3 lopettes des "Callings", et on a l'impression que l'univers du Prism Show, super populaire, se limite à ces glandus. Il faudra attendre vraiment TROP longtemps pour avoir enfin le sentiment que le monde du Prism Show est vaste, et qu'effectivement, de nombreuses filles tentent de devenir des Prism Stars. Encore une fois, sans ce sentiment de concurrence et de pression, la cohérence de cet univers du Showbiz prend cher. On pourra parler vite fait aussi du fait que rien ne semble expliquer le principe des Prism Stone ou la raison pour laquelle on a de la "magie" sur la patinoire: ça semble juste normal à tout le monde, mais perso, ça m'a fait tiquer. Enfin, voilà quelques exemples, et la liste n'est pas exhaustive. Il est temps de passer au point suivant...
...Les personnages. Et alors là, désolé, mais je vais me lâcher. Les problèmes liés aux personnages relèvent de 2 domaines: l'humour et le culcul gnangnan superficiel. Wé, c'est clairement destiné aux gamines de 12 ans cette série, mais faut quand même pas déconner, "Aikatsu!" l'est aussi et ne vient pas pour autant nous faire chier de la même façon... Point de vue humour, on trouvera des personnages qui ne servent qu'à ça... On citera en premier lieu le prof Pingouin et Yamada, juste inutiles, pas crédibles, et envahissants avec leur numéro lourd comme 1000 charrettes remplies de merde, et con comme une huitre après trépanation; ou le père d'Aira, super protecteur, mais en fait juste complètement insupportable. Pour les autres aspects liés aux personnages, on pourra parler de Aira, révélatrice d'une sorte de tendance japonaise à être non seulement des "Fashion Victims", mais aussi des "Trend Victims" (dans le sens où il n'y a pas que la mode vestimentaire qui fait des victimes, mais aussi les "tendances populaires"). Elle est tellement polluée la pauvre, qu'elle ne voit aucun problème à jouer la méga fan-girl lobotomite et insistante envers quelqu'un qu'elle ne connait pas, pour la seule raison que "Bah si elle passe dans des magazines de mode, c'est forcément quelqu'un de parfait". Son côté superficiel est démesurément exagéré via son unique passion: les fringues... Ajoutez à ça son absence de caractère et sa timidité exagérée pendant les 2/3 de la série, et on se demande bien si ce ne serait pas finalement une pauvre connasse de base qui ferait pas mieux d'aller se payer une personnalité à la foire fouille, ou, mieux, d'aller se pendre à un cactus... On pourra aussi parler de Asecchi, la directrice du Pretty Top, qui semble pouvoir imposer tout ce qu'elle veut à tout le monde, puisqu'elle part du principe que personne ne refusera ses ordres abusifs. Et en fait, elle a bien raison: elle pourrait demander à une inconnue d'aller lui chercher un café en Colombie, elle n'essuierait sans doute pas de refus, ce qui a tendance à souligner le manque total de caractère ou de profondeur de l'ensemble du casting. Point de vue personnages horripilants, je signalerai aussi les 3 lopettes molles du gland des "Callings". Sans déc, même les "Poetic lovers" n'étaient pas aussi glands et ringards... Et faut voir leurs "chansons". Ca donne des envies de meurtre, et de les pendre par les couilles, si encore ils en avaient. Il suffit de voir Shou argumenter pour avoir des gâteaux pour la fête d'halloween auprés du père d'Aira. Perso, je l'ai lu comme ça ce dialogue: "wé, pardonnez moi de demander seulement 15 jours avant, mais si nous avions vos gateaux pour Halloween, nous pourrions rendre la Terre entière heureuse, les sourires se répandraient comme la petite vérole, et ça niquerait 15 jours à la suite dans les chaumières! L'avenir du monde dépend de votre si AWESOME putain de fraisier!" UUUGGGGHH!!! Non, ca colle aux dents et au cul... On passera sur le comportement de Mion, qui semble légitimé, puisque seule Rhythm trouvera à y redire, et sur tellement d'autres trucs que je pourrais en remplir une décharge...
Point suivant, et c'est pas le dernier *sigh*. A mon avis, on a ici mine de rien le plus énorme fail de la série, et je vais tenter d'expliquer en quoi. Je parle du principe des silhouettes, déjà mentionné dans un comm plus haut. Comprenez bien, on a ici une série qui tourne totalement autour du Showbiz, avec des gamines qui gagnent en popularité, et qui ont un statut changeant qui se définit avant tout par leur mise en relation avec leurs fans ou les gens du commun. Rappelez vous ce que je disais plus haut: pendant de nombreux épisodes, on a l'impression que le Prism Show se résume aux 3 filles et aux 3 mecs des "Callings". Ca fait plutôt vide. Mais si en plus TOUS les figurants, même ceux qui ont des dialogues complets avec les protagonistes, sont traités comme des silhouettes unicolores non animées, l'impression de fausseté de l'ensemble du propos atteint des sommets. Les amis, connaissances, camarades de classe, passants, clients, fans, spectateurs,... Aucun ne semble vraiment exister ou avoir de substance, et seuls les personnages clefs de la série ont un visage, des couleurs... Ca semble du coup tellement vide et emprunté que ça détruit totalement l'intensité de ce star system propre à un univers des idoles qui semble du coup tellement plat, fade... Là où un "Aikatsu!" n'avait pas hésité à faire en sorte que ces mêmes figurants fassent ressortir l'unicité et la spécificité de Ichigo et consorts... "Pretty Rhythm" se tire une balle dans le pied, et il faudra attendre bien TROP longtemps pour qu'on ressente enfin la sensation que finalement, ben oui, ce sont effectivement des filles privilégiées, des stars, et pas des fantômes arpentant une matrice peuplée de mannequins sans âme. Ce fail est bien pire que celui de "Kimi ga Aruji de Shitsuji ga Ore de", qui utilisait le même principe foireux. En effet, dans ce dernier, l'histoire tournait un peu en vase clos et n'impliquait que les personnages de la série, alors que dans "Pretty Rhythm", le principe même du Showbiz suppose une ouverture sur un monde qui devrait faire écho à la popularité des stars montantes que sont nos protagonistes. A partir de l'épisode 19, et de plus en plus au fil de la série, certains figurants commencent enfin à être traités normalement, mais jamais le problème ne sera totalement résorbé. Il n'empêche que Aira et ses copines semblent moins creuses au fil du temps, et s'il s'agissait d'un recours artificiel pour intensifier leur montée en puissance via un echo de plus en plus accentué entre elles et leur public, il n'en reste pas moins que l'un des intérêt premier de la série s'en trouve largement saboté à mes yeux pendant une bonne part des épisodes. Ca semble donc un choix catastrophique pour moi.
Mais était-ce vraiment un choix? Pour trouver des éléments de réponse, il faut aborder le point suivant dans cette longue liste des fails de "Pretty Rhythm". Oui, ça commence à être long, quand bien même j'évacue sciemment certains aspects ratés. Mais je ne peux pas ne pas parler de l'aspect technique, graphique, et artistique totalement indigent, de cette série de 2012. Disons le, j'ai trouvé ça moche. Artistiquement, les décors sont plats, pas bien crédibles, et pas originaux, en plus d'être largement recyclés. Seuls les vêtements semblent avoir fait l'objet d'un minimum de recherche graphique. Le Chara design est au mieux simple et banal, le dessin est franchement simplifié, et l'animation se contente du minimum syndical. Et encore, quand il y a de l'animation. Beaucoup de scènes, notamment pendant les entrainements, se contentent de recycler des images fixes pas très réussie, qu'on se tapera pendant 51 épisodes. Mais ça recycle à tout va ici... L'animation l'est aussi. On a le sentiment que cette série est d'un cheap assez difficile à imaginer. Et le principe des silhouettes semble du coup tenir de la même logique. Un choix pour faire ressortir peu à peu la popularité des personnages? Ou un moyen facile de faire des économies? Hé, je suis sûr de rien, mais j'ai mon avis, vous l'aurez compris. Quoi qu'il en soit, de mon point de vue, le pire sabotage en ce qui concerne cet aspect technique et artistique, ce sont les spectacles du Prism Show. Plusieurs raisons à ça: D'abord, une 3D qui ne suit pas. Si au début elle semble légèrement meilleure que celle des premiers épisodes de "Aikatsu!", elle ne s'améliore jamais, contrairement à ce même "Aikatsu!", qui arrive même à sembler presque réussi à la fin. Mais ajoutez à ça que les mêmes chorés sur les mêmes chansons sont répétées et recyclées parfois plus de 10 fois dans la série (avec de subtils changements parfois certes), ajoutez aussi des musiques le plus souvent miteuses (c'est mon avis, mais j'ai rarement trouvé pire), et une fluidité discutable des mouvements de danse (alors pourtant qu'ils ont pas choisi la 3D par hasard), et on se rend compte que même avec le scénario qui prend des level up à la fin, certaines scènes clefs de spectacles clefs ont du mal à faire leur office emotionnel.
Comme je le disais, la série prend pourtant quelques lvl up à partir de l'épisode 40. La faute à une ambiance plus épaisse, un scénario plus profond, plus touchant, moins rose et moins manichéen, qui s'appuie sur des personnages qui prennent de l'épaisseur et évoluent jusqu'à remiser la plupart de leurs aspects gonflants, et sur un aspect star system qui se révèle enfin. En fait, c'est à mon avis une toute autre série qui commence, pas dénuée d'intérêt, pas dénuée d'émotions, et qui se débarrasse de beaucoup des défauts qui la plombait pendant les 39 premiers épisodes. J'ai enfin trouvé quelque chose qui valait le coup, toujours imparfait, certes, mais qui trouvait enfin quelque chose à avancer pour sa défense. Le seul défaut parmi ceux mentionnés plus haut qui persiste encore reste sans doute l'aspect technique et artistique, malgré qu'on puisse constater de légers efforts dans ce domaine aussi. Si je me suis largement énervé et ennuyé pendant 39 épisodes, ces 12 derniers ont eu le mérite de m'intéresser et de me donner l'envie de tester au moins les premiers épisodes de la saison 2: "Pretty Rhythm: My Dear Future".
Pour conclure, je pointerais quand même que les épisodes durent 18 minutes et qu'on a une émission télé durant (le plus souvent) 5mns, accolée à la série, sensée montrer le montage d'un groupe d'idoles. Me semble que cette partie ne se trouve pas dans la vostfr présente sur AU: je rappelle que j'ai regardé en vosta. L'émission est assez révélatrice de pas mal de choses concernant ce phénomène trés japonais. J'ai trouvé quand même pas mal de choses assez discutables là-dedans, qui sont à mettre en relation avec le fonctionnement général de la société japonaise pour être pleinement pesés et compris. Les miss ont entre 10 et 12 ans et... Je vous laisse juge ^^. Le loli a de beaux jours devant lui. Notons d'ailleurs que ce groupe, "Prizmmy", s'avère être le quatuor tête d'affiche de la saison 2 dont je parlais. Du coup, le commentaire de "LouFromAsgard " plus haut sur l'aspect commercial de la série prend franchement tout son sens. Comm super long, il y avait juste trop de choses utiles à pointer à mon avis (EDIT: Wé houla, abusé même
).
5/10: a cause de 39 épisodes franchement médiocres, rattrapés en partie par une fin assez sympa.